Notre esprit est l’inconnu qui nous est le plus proche… Inconnu, mais pas inconnaissable. Il sait des choses. Il veut des choses. Il ressent des choses. Il pense des choses. Il vit des choses… et notre vie se vit par lui, à travers lui. Mais notre esprit n’est pas tombé tout fait du ciel. Il se développe si nous le développons. Il s’accomplit si nous l’accomplissons. Et c’est un travail – notre travail – de tous les jours. Apprendre à savoir, à vouloir, à ressentir, à penser. Apprendre à amplifier notre conscience de nous-mêmes, des autres, du monde, du cosmos, de l’indicible.
On entend beaucoup de musique, mais l’écoute-t-on vraiment ? Et derrière ce mot « musique », comprend-on tout ce qui se cache ? Étant plurielle, la musique devrait s’entendre comme « les musiques » avec ses familles, ses clans, ses amis, ses ennemis, ses thuriféraires et ses délateurs…Dans cet ouvrage, des musiciens de haut vol, des producteurs, des philosophes, des artistes s’expriment sur « leur » musique…
La prospective est un métier à part qui n’est ni de la divination ni de la prophétie ; elle s’appuie sur la modélisation des processus complexes et le monde humain en est un, comme la biosphère ou l’atmosphère terrestre. Nous traversons une zone chaotique majeure (dérèglement climatique, dérégulation océanique, pandémies, guerre en Ukraine, dislocation des États-Unis, délitement des démocraties, euroscepticisme, montée d’idéologies nauséabondes…).Ce chaos entérine l’effondrement de la Modernité, née à la Renaissance, et enclenche l’émergence d’un tout autre paradigme qui sera en place vers 2050. Ce nouveau paradigme touchera les grandes structures du monde, mais aussi toutes les dimensions de nos vies quotidiennes.
Ce sont ces deux aspects complémentaires qu’étudie cet ouvrage
Les « spécialistes » – médecins, politiciens ou autres – qui pérorent depuis deux ans sur la « pandémie » – qui est devenue endémique – font de la biologie darwinienne primaire où le « hasard » des mutations génétiques induirait des « variants » totalement imprévisibles (et toujours moins virulents et dangereux). Ils font l’impasse totale sur les évolutions épigénétiques des virus ARN qui mutent, surtout poussés par un « élan de vie » (une intention systémique) qui les fait s’adapter à leur milieu (et à ses défenses), dans le seul but de pouvoir s’y reproduire à long terme.