La Sainte Arche Royale
10.00 €Le grade de la Sainte Arche Royale, peu pratiqué sur le continent, est né en Irlande et couronne l’édifice maçonnique anglo-saxon.
"Marc Halévy est un physicien de la complexité (longtemps chercheur auprès du prix Nobel Ilya Prigogine) et un philosophe de la spiritualité. Depuis trente-cinq ans, il élabore des théories, modèles et méthodes pour les processus complexes et les applique aux systèmes socio-économiques humains, notamment dans le cadre de ses activités de prospectiviste renommé..."
Marc Halévy est un physicien de la complexité (longtemps chercheur auprès du prix Nobel Ilya Prigogine) et un philosophe de la spiritualité. Depuis trente-cinq ans, il élabore des théories, modèles et méthodes pour les processus complexes et les applique aux systèmes socio-économiques humains, notamment dans le cadre de ses activités de prospectiviste renommé. Il a publié une quarantaine de livres et des centaines d’articles. Il donne de nombreux séminaires et conférences.
Le grade de la Sainte Arche Royale, peu pratiqué sur le continent, est né en Irlande et couronne l’édifice maçonnique anglo-saxon.
On ne consomme jamais de l’énergie, on la transforme ! Il n’existe pas d’énergie renouvelable, seulement des gratuités très partielles et temporaires ! En physique et en thermodynamique, il n’y a (…)
Voici un livre d’expériences, de témoignages, d’analyses, qui arrive en librairie dans un temps où les « langues de bois » et les « langues folles » ne sont ou ne devraient plus être de mise !
L’Europe, pour qui ? Pourquoi ? Vers une Renaissance ? Beaucoup de questions et de polémiques sur le sujet.Ce recueil de réflexions à plusieurs mains témoigne de la complexité du sujet, mais c’est un véritable défi que les auteurs ont choisi de relever pour nous en parler librement, sans « langue de bois », dans la période trouble que nous vivons actuellement.
Nous vivons la fin d’un monde, mais pas la fin du monde. Les Bourses s’effondrent et font découvrir le désastre des fausses économies spéculatives, des planches à billets, des « façades de Catherine II (…)